Ni mannequin ni clown
Ce qui nous ravit dans un petit enfant, c’est sa transparence. Il nous attire sans nous arrêter à soi. Il nous rend sensible, en quelque manière, une Présence infinie. Il nous rattache à la Source divine comme un sacrement de lumière… Les orgueilleux nous blessent parce qu’ils sont opaques. Ils enferment tout en eux-mêmes et nous emprisonnent dans leurs limites. Les saints nous délivrent en laissant luire en eux une divine clarté. Nous ne sommes vraiment heureux qu’en nous perdant de vue, en nous effaçant en ce qui nous dépasse.
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